Manifestations 2016

 

LES AINES ONT DEVANCE NOËL

Le traditionnel banquet de Noël a réuni mardi 13 décembre un peu plus de quatre-vingt adhérents du club de l’Amitié. Rejoints par Jean Gaillac Président du club d’Espeyrac et fidèle ami du club mais aussi des voisins de Saint-Marcel, ils se sont retrouvés à la salle des fêtes de Sénergues pour célébrer avec quelque jours d’avance les réjouissances de Noël. Le président Gérard Falco remercie tous les présents et souhaite un bon appétit à tous. Il précise que le prix de ce repas surprise est en partie pris en compte par la caisse du club, et que la prochaine rencontre est prévue pour le mardi 17 janvier avec la galette des rois au cours de laquelle il sera procédé à l’encaissement du renouvellement des cartes et la tenue de l’assemblée Générale.

C’est un excellent menu surprise préparé par Pierrot Boscus l’enfant du pays et son épouse Jackie qui a été servi aux convives ravis de préparer leur papilles en vue des fêtes de fin d’année. Après un délicieux foie gras suivi d’un saumon sauce oseille et d’une pintade aux morilles, la bûche a été bien appréciée. Ce convivial après-midi s’est poursuivi en conversations, chants, blagues et belote pour les inconditionnels.

 

 

 

ESTOFINADO ET RETOUR UN DEMI SIECLE EN ARRIERE

Une centaine de membres du club de l’Amitié a répondu présent pour le traditionnel repas d’automne ce mardi 8 novembre. Le président Gérard Falco ravi de cette nombreuse présence souhaite une bonne « estofinade » à tous. En effet ce plat de saison convenait parfaitement avec la température extérieure. Préparé avec le soin habituel par Pierrot Boscus, l’enfant du pays, il a ravi les papilles de tous les gourmets. Après cet excellent repas Christian-Pierre Bedel est venu présenter le film « Paysan de Rouergue », réalisé par André Andrieu au sein de sa famille dans les années 1960 sur le causse de Villeneuve d’Aveyron. Ce document exceptionnel, très pédagogique, tourné en 8mm, a été numérisé pour sa sauvegarde. Il fait apparaître au fil des saisons les travaux agricoles, labours au brabant voire à la Dombasle, la greffe des noyers, la fenaison avec les bœufs ou au tracteur avec barre de coupe, la moisson, le battage et le dépiquage avec les matériels de l’époque, mais aussi les foires et fêtes de village. Les récoltes d’automne, les vendanges, le pressage des raisins ou des pommes sans oublier les grillées de châtaignes ont rappelé de nombreux souvenirs aux spectateurs présents qui ont tous connu ces années-là.   

 

 

 

SUCCES POUR LE FOLKLORE ET LE COCHON GRILLE

Cela fait une bonne trentaine d’années que le groupe Lous Castelous, créé en 198, organise la Nuit de le Bourrée. Cet incontournable rendez-vous folklorique de l’automne a encore séduit beaucoup d’aficionados. Samedi 15 octobre dans une salle des fêtes prise d’assaut par les amateurs de folklore, l’ambiance était à la danse et aux agapes. En effet l’excellent cochon grillé au feu de bois préparé avec tout le savoir-faire du président Benoît Clot, bien entouré par son équipe, a ravi les papilles de tous les participants unanimes pour en saluer les qualités gustatives. Mais pour faire patienter cet instant délicieux, les musiciens du groupe avaient déjà entrainé les danseurs sur la piste avec bourrées, valses, brise pieds etc… A la reprise l’orchestre a su, bien varier les morceaux pour le plus grand plaisir des amateurs qui ont pu s’exprimer aussi sur des mélodies qui permettent des chorégraphies d’ensemble. Ces conviviales danses s’inscrivent pleinement dans l’esprit festif de ces rencontres qui perpétuent le folklore et la tradition.

 

 

 

 

GAUZFRED A ACCUEILLI PRES DE 400 VISITEURS POUR LES JOURNEES DU PATRIMOINE

En effet le circuit de découverte du patrimoine de la commune « Sur les traces de Gauzfred de Monte Arnald » a reçu la visite de près de 400 personnes intéressées de connaitre les joyaux de ce coin de territoire aveyronnais en bordure de la vallée du Lot. Cette nouvelle édition a débutée samedi 17 septembre à 20h30 en la chapelle de Montarnal avec une conférence animée par Jean-Claude Richard adjoint en charge de la culture à la mairie de Sénergues. En présence de Pierre Lançon de la Sté des Lettres de l’Aveyron, de Paul Goudy maire de Sénergues, de Jean-Pierre Combal président de l’association de Notre Dame et de Régine Combal directrice de L’OT Conques–Marcillac, il a relaté tout le patrimoine sauvegardé et restauré dans les églises de Saint-Sulpice, Notre-Dame d’Aynès au fil des siècles par les aïeuls mais aussi actuellement par l’association de Notre Dame et ses bénévoles. Il a relaté l’histoire des lieux et les modifications apportées depuis l’origine avec des documents, des citations et anecdotes relevées dans les livres de paroisse. Il a fait ressortir l’esprit citoyen qui a animé toutes les générations qui ont légué ce patrimoine aujourd’hui en bon état.

Mais le sujet principal était les grilles romanes du XIIème  siècle de la chapelle de Montarnal, identiques à celles de Conques, de Pampelune et autres lieux. Après avoir décrit l’art de la ferronnerie à la période romane, il s’est livré à une analyse comparative avec une grille de Conques qui provient du même atelier de ferronnerie et de la même époque.

Il a développé deux hypothèses :

La première serait que l’installation de ces grilles pourrait être concomitante avec celles de Conques. En effet la chapelle fut longtemps situé sur une variante du chemin de Saint-Jacques et les reliques amenées par Gauzfred de Monte Arnald après son pèlerinage au Saint-Sépulcre et les reliques de Saint-Brandan ramenées lors sa participation légendaire à la bataille de Hastings en 1066 auraient pu faire l’objet d’une vénération en cette chapelle, d’où l’installation de ces grilles pour les protéger et les laisser voir.

La seconde repose sur les liens qui ont existé entre l’abbatiale de Conques et les familles originaires de la baronnie de Montarnal qui ont fourni de nombreux religieux et dignitaires à l’abbaye. Lors des divers travaux entrepris à différentes époques une grille inemployée ou en surplus aurait pu faire l’objet d’un transfert.

Le mystère reste entier quant à connaitre l’origine exacte de ces grilles et leur installation en cette chapelle. Seule la visite pastorale du 17 août 1635 de Bernardin de Corneilhan Evêque de Rodez en fait mention pour la première fois en ce lieu.

Le lendemain les cinq monuments ouverts au public, malgré le temps maussade, ont connu une bonne fréquentation. De très nombreux pèlerins de Saint-Jacques se sont arrêtés le matin à l’église Saint-Martin de Sénergues. Les visites se sont étalées dans la journée au château de Montarnal, où Gérard Revel, propriétaire, a pu converser longuement avec les amoureux de vieilles pierres. Les bannières de Saint-Roch et de Notre-Dame restaurées minutieusement par les mains expertes de Thérèse Thomas ont fait l’admiration du public. Les échanges ont été nombreux et très intéressants avec un public averti et passionné en chaque lieu visité où de la documentation a été remise à tous les visiteurs.

 

 

 

PLEBISCITE POUR LA RESTAURATION DES GRILLES MEDIEVALES DE MONTARNAL

Les grilles du XIIème siècle de la chapelle seigneuriale du village de Montarnal ont fait l’objet d’une action de restauration en septembre et octobre 2015 par l’entreprise Toulousaine Materia-Viva, qui leur ont permis de retrouver toute leur finesse et mettre en valeur l’art de la maîtrise du fer de l’époque. Mardi 16 août lors de la traditionnelle fête de Saint-Roch de Montarnal, elles ont été bénies et symboliquement inaugurées. En effet lors de la sympathique messe concélébrée par le père Jean-Luc Michel et Maxime de Montarnal, récemment ordonné, c’est ce dernier qui a béni les grilles à l’issu de la célébration, pour la plus grande satisfaction de son grand père Philippe de Montarnal doyen de la famille.

En présence de Michelle Buessinger et Christian Teulié, Conseillers Départementaux, de Laurent Fau Conservateur des Antiquités et Objets d’Arts de l’Aveyron, de Jean-Marie Lacombe Président de la CCCM, de Jean-Pierre Combal Président de l’association de Notre Dame d’Aynès, de Christian Bernat, Paul Goudy, maire de Sénergues, a retracé la genèse de cette restauration en soulignant le rôle de Laurent Fau qui a accompagné et soutenu ce projet auprès de la DRAC avec efficacité. Après une expertise la restauration s’est effectuée en trois phases : nettoyage jusqu’au métal sain, stabilisation et protection. « Grâce à tous, Montarnal a conservé sa page d’histoire et son âme que nous allons léguer aux générations futures, comme ont su si bien le faire nos ancêtres dont nous pouvons être fiers » concluait-il.

Tous les intervenants ont été unanimes pour souligner l’excellent travail de restauration, ainsi que le montage financier exemplaire de cette opération de sauvetage qui réunit des institutionnels, des particuliers et le monde associatif qui a monté un mécénat pour compléter les aides de l’Etat, de la Région et du Département.

Un vin d’honneur offert par la municipalité et animé par le groupe Lous Castelous a rassemblé tous les participants de cette sympathique cérémonie, avant que l’association de Notre-Dame d’Aynès invite, les 90 donateurs et tous les bénévoles à un convivial et succulent buffet préparé avec beaucoup de goûts subtils et de saveurs par Pascale et Véronique.

 

 

L’ESPAGNE ET LE BRESIL INVESTISSENT LA CHAPELLE DE MONTARNAL

La chapelle de Montarnal était finalement trop petite dimanche 14 août pour accueillir une centaine de mélomanes venu apprécier le talent du quatuor Sevilla. Composé de Thierry Lèbre médaille d’or du conservatoire d’Issy les Moulineaux, originaire du Cantal, de Clotilde Bernard 1er prix du concours Bellan après des études aux conservatoires d’Annecy et de Paris, de Benjamin Hubert en licence de musicologie à Paris IV, de Quentin Lupinko le jazzman de l’équipe qui le pratique sous toutes ses formes, ces talentueux musiciens du quatuor Sevilla, ont proposé un répertoire international plutôt axé sur l’Espagne et l’Amérique du Sud. Jean-Claude Richard adjoint à la culture a fait un rapide exposé historique de cette chapelle seigneuriale qui abrite des grilles en fer forgé de la fin du XIIème siècle. Puis Christine Musset a précisé « que ce soir, à Montarnal, quatre guitares s’accordent pour vous emporter dans la musique Espagnole et les rythmes Brésiliens ». Commencé tout en douceur par une pièce de John Dowland de l’époque Élisabéthaine, le concert s’est poursuivi avec Sevilla, d’Isaac Albeniz, une composition qui est issue de chants et danses traditionnelles de  l’Espagne profonde.

Le quatuor a ensuite dédié l’arrangement pour quatre guitares des variations de Johannes Brahms à Christine Musset qui a organisé cette tournée dans une région extraordinaire. Puis quatre pièces courtes mais très joyeuses de F.M. Torroba ont précédé une translation en Argentine avec Raul Maldonado et sa suite lointaine d’allure martiale. Changement radical avec le pays voisin, le Brésil, en compagnie d’O Furiosa, une danse où les improvisations avec la caisse de l’instrument rythment ce morceau très enlevé. C’est une ovation du public qui a récompensé cette belle prestation et les présentations détaillées des pièces jouées par chaque musicien. Christine Musset a tenu à adresser ces plus vifs remerciements à la municipalité de Sénergues et à Gérard Revel pour leur accueil chaleureux. Les applaudissements qui ont suivi l’ont été aussi pour le quatuor qui ne s’est pas fait prier pour offrir en rappel une pièce originale aux accents de Jazz Manouche, de leur composition sur une harmonisation de Quentin. 

La soirée s’est poursuivie dans les jardins du château de Montarnal, prélude peut-être à un futur concert en ce lieu remarquable. A suivre…

 

 

 

LES VALEURS DU BAL DES VOLEURS

Cette pièce de Jean Anouilh adaptée librement par la Compagnie des Péchus d’Orléans devait initialement être jouée dans le beau décor naturel du jardin médiéval du château de Montarnal qui se prêtait idéalement à la mise en scène de cette comédie burlesque. Gérard Revel propriétaire des lieux et la municipalité avaient minutieusement préparé ce théâtre en plein air. Malheureusement dame météo et ses caprices vers 20h en ont décidé autrement. C’est la mort dans l’âme que les responsables de Vallon de Cultures et la compagnie ont décidé, en collaboration avec la mairie, de se rapatrier à la salle des fêtes de Sénergues. Très professionnels les membres de la troupe ont démonté et remonté en temps record le matériel du spectacle. Malgré ces aléas celui-ci a pu commencer à l’heure prévue. Serge Cadilhac président de Vallon de Culture et Jean-Claude Richard au nom de la mairie de Sénergues ont souhaité la bienvenue à la soixantaine de spectateurs, toutes générations confondues, dont Michèle Buessinger conseillère départementale Paul Goudy Maire de Sénergues et ses adjoints, pas découragés par le changement de lieu inopiné.

Ces déboires météorologiques ont été vite oubliés avec le spectacle proposé haut en couleurs, avec ses imbroglios, où les dupés ne sont pas si dupes et les voleurs qui ne volent rien ou qui se volent entre eux sans s’en rendre compte. Jouée sur un rythme effréné avec la participation parfois involontaire du public, cette pièce a fait rire le public de tous les âges grâce entre autres aux mimiques de la mère adoptive des deux pickpockets, dont un, plus Pierrot lunaire que voleur. Il va même trouver l’amour au cours de ce tourbillon où chacun essaie d’abuser l’autre pour l’escroquer. Tout est bien qui finit bien et les valeurs reprennent leurs droits dans ce Bal des Voleurs bien accompagné par trois musiciens de talent.

C’est sous les rires et des applaudissements nourris que s’est achevée cette représentation avant que les comédiens invitent le public dans une conviviale ronde pour terminer la soirée.

La sympathique compagnie des Péchus qui joue aussi du Molière ou du Shakespeare, continue sa tournée dans le sud Aveyron et la Lozère avant d’avoir le plaisir de la rencontrer à nouveau sur les planches ou les lieux emblématiques de Conques-Marcillac.    

 

 

LE FESTIVAL DU ROMAN DE CONQUES SE DECENTRALISE A MONTARNAL

C’est dans le cadre merveilleux des jardins du château de Montarnal mis gracieusement à disposition par Gérard Revel qu’a eu lieu ce concert décentralisé du 33ème festival de Conques la Lumière du Roman. Anne Pinson directrice du Centre Européen a tenu à souligner dans son mot de bienvenue « l’accueil toujours chaleureux de Gérard Revel et de la municipalité qui sont de véritables partenaires pour le festival ».

Trois violoncellistes de la master class de Julius Berger ont offert un concert d’une très grande qualité. Celui-ci a commencé par la suite n° IV en mi bémol majeur de Bach interprétée par la jeune Mariona Carmats d’origine espagnole, lauréate de plusieurs concours, qui a livré une très belle interprétation des trois mouvements. C’est Antonin Musset qui ensuite a ému l’assistance avec le superbe lied op 43 n°2 de Brahms accompagné au piano par Angiola Rocca. Raphaêl Stefanica, toujours accompagné par Angiola, lui a succédé avec une composition de Tchaïkovski un Pezzo Capriccioso op 62, une pièce très joyeuse qu’il avait composé pour un ami malade. Antonin Musset est revenu pour interpréter avec brio la suite n° VI en Ré majeur de J .S. Bach avec son Prélude sa Sarabande et sa Gigue. Il a enchainé avec la sonate pour violoncelle seul de Kodaly, une pièce très exigeante, aux sonorités singulières, qui nécessite un accordage particulier pour explorer et exploiter toutes les possibilités de l’instrument.

Outre les superbes interprétations de ces jeunes talents, les spectateurs ont particulièrement apprécié les présentations des œuvres jouées, par Christine Musset et par les interprètes eux-mêmes. Elles permettent une meilleure compréhension des compositions et des intentions de leur auteur. Parmi ces auditeurs attentifs notons la présence de Dominique Sprenger de Conques, directeur honoraire du Conservatoire National de Musique de Paris qui a beaucoup œuvré pour la qualité de l’enseignement musical en France avec une attention toute particulière pour le violoncelle qu’il affectionne.

Ce ne sont plus des élèves mais de véritables jeunes artistes au talent prometteur qui se sont produit au château de Montarnal ce mercredi 3 août pour le plus grand bonheur du public présent. Comme le concert avait lieu à 11 heures la majeure partie de celui-ci a poursuivi cette rencontre et les échanges sous les frondaisons des bords du Lot avec un piquenique tiré du sac particulièrement apprécié.

 

 

REMARQUABLE AUDITION DE FIN DE STAGE

C’est en présence d’environ quatre-vingt personnes, dont Mr le maire et ses adjoints, que s’est déroulée samedi 30 juillet, en l’église de Sénergues l’audition de fin de stage de cette session de la master classe de harpe de Béatrice Guillermin et de flûte de Jean-François Simoine. Ce dernier en préambule au concert a tenu à remercier « la mairie de Sénergues qui a prêté des salles pour les répétitions, ainsi que le Domaine de Sénos pour son accueil, sans oublier Anne-Cécile professeur de piano au conservatoire de Toulouse, qui va accompagner les élèves ce soir ».

La harpe débute l’audition. Elle a commencé avec trois solo de harpe suivis de trois duo flûte et harpe et une pièce pour piano et harpe avec des interprétations de très bon niveau qui ont enchanté le public. La belle acoustique de l’église s’est merveilleusement bien prêtée à la sonorité cristalline de cet instrument dont l’origine remonte à la plus haute antiquité.

Ensuite place à la flûte. Toujours accompagnés avec brio par Anne-Cécile les élèves de Jean-François Simoine ont proposé un répertoire riche et varié. Les pièces de Bach, Haendel, Haydn, Fauré, Roussel, Gounod, Fauré, Debussy, ou encore Prokofiev pour ne citer que les principaux compositeurs, étaient d’une très grande beauté mais d’une redoutable technicité.

C’est par des applaudissement nourris que tous ces jeunes talents ont été récompensés pour leurs remarquables interprétations qui ont séduit le public.

 

 

 

SI LE FIL DE L’EAU ETAIT CONTE

Il faisait beau et doux sur les bords du Lot ce mardi 26 juillet. A l’appel de Vallon de Culture et de la municipalité de Sénergues, les amateurs de beaux textes s’étaient donné rendez-vous dans le jardin médiéval du château de Montarnal, que Gérard Revel, propriétaire, avait spécialement ouvert pour la circonstance. Devant soixante-dix auditeurs Michèle Buessinger Conseillère, Départementale, a présenté Vallon de Culture « structure de la Communauté de Communes qui organise des manifestations, accompagne les associations dans leur programmation et développe tous les aspects culturels sur le territoire ».

Claude Lajeunie organisateur de ces lectures bimestrielles a présenté chacun des intervenants. Au total c’est une douzaine de lecteurs et lectrices qui sont succédés avec des textes variés de Pablo Néruda à Raymond Devos en passant par un poème de Paul Verlaine ou des compositions personnelles qui avaient toutes un point commun « Au fil de l’eau ». France Deltour en charge des jeunes lecteurs avait convié Audrey, Ophélie, Elina, Manon et Jonathan qui ont lu avec beaucoup de talent et de maîtrise des extraits de « L’enfant et la rivière » d’Henri Bosco et de la « Rivière Espérance » de Christian Signol. Toutes ces lectures ont été agrémentées d’intermèdes musicaux avec Francis à la cabrette et Géraud à l’accordéon. Ils ont interprété de très vieilles chansons de marin ou des musiques folkloriques anciennes en lien avec le thème de l’eau. 

Un verre de l’amitié offert par Vallon de Culture et Gérard Revel a conclu cette belle et agréable soirée consacrée à la littérature dans un décor idyllique par une belle soirée d’été.

 

 

 

 

LE TRIO NYMPHEA REND HOMMAGE AUX COMPOSITEURS FRANÇAIS

C’est un récital consacré à la musique Française que le Trio Nymphéa a présenté vendredi 22 juillet en l’église de Sénergues. Composé de Béatrice Guillermin à la harpe de Vannessa Menneret à l’alto et de Jean-François Simoine à la flûte ce talentueux Trio a offert à un public malheureusement un peu trop restreint un concert d’une qualité remarquable.

C’est une sonate de J.M. Leclair en quatre mouvements, joyeuse et enlevée, qui a ouvert ce récital, suivie de la Pavane pour une Infante Défunte de Maurice Ravel, toute en douceur et recueillement, sur un arrangement pour trio très réussi. La suite en cinq mouvements d’André Jolivet, composée pour flûte, harpe et alto, a proposé un univers sonore intemporel où les instruments se cherchent et se répondent constamment. Après l’entracte c’est une sonatine de Maurice Ravel pour alto, flûte et piano, transcrite pour harpe qui a plongé les auditeurs dans l’univers sonore riche et coloré de ce compositeur qui n’a cessé de faire progresser vers un raffinement accru, ses harmonies et ses timbres, domaine de prédilection de sa recherche. C’est avec la première sonate de Claude Debussy pour flûte, harpe et alto en trois mouvements, une pastorale, un interlude et un allegro-modérato que s’est achevé ce superbe concert qui a tellement ravi les auditeurs présents que leurs applaudissements nourris ont conduit à un rappel du trio qui a offert en retour un extrait de la messe de Rossini. Une magnifique soirée avec des interprètes de talent qui ont proposé un excellent répertoire.

 

 

LE RÊVE DE LOUIS MODERAN SE REALISE

C’est en présence d’une bonne centaine de personnes que Louis Modéran a enfin réalisé son rêve samedi 23 juillet 2016. Depuis très longtemps il souhaitait ériger une croix à l’embranchement de la Pégalerie. Très ému Louis Modéran a dit « que ce vœux le plus cher se concrétisait, grâce à Mr Carles qui a donné le terrain, à Fabien Maury qui a sculpté le socle en granit et à Albert Lavergne, forgeron, qui a fabriqué la croix. Je remercie tous ceux qui m’ont accompagné dans cette entreprise ». Ensuite Frère Ismaël au cours d’une agréable cérémonie a procédé à sa bénédiction en rappelant le symbole de cette croix dressée pour le salut de tous les peuples. C’est avec le chant « Ô vierje de los Montanhos » que s’est achevée cette sympathique cérémonie. Tous les voisins et amis présents ont ensuite été conviés au verre de l’amitié pour fêter cette belle croix aux proportions élégantes.

  

 

 

 

UNE BELLE FETE SOUS LA CHALEUR ET DANS LA BONNE HUMEUR

Après le beau succès du marché gourmand du vendredi soir, le samedi 16 juillet fut en partie consacrée à la moto avec de la moto verte organisée par les jeunes afficionados du comité des fêtes et le double passage du rallye moto de Villecomtal. En soirée c’est la paella géante de maître Gérard et ses acolytes qui a ravi les papilles des 250 convives au son du groupe NO Rezo. Ce dernier a conquis son public avec un répertoire très varié bien adapté à toutes les générations.

Le dimanche matin le petit déjeuner aux tripous/steak/tête de veau a eu un franc succès. La sortie du pain cuit au feu de bois dans le four du village a connu sa coutumière affluence grâce aux courageux boulangers Pitt et Patrick. Dès la sortie de la messe la municipalité a offert son traditionnel vin d’honneur très apprécié de tous. En effet il permet aux habitants d’échanger et de se mélanger avec les estivants et les touristes dans une grande convivialité.

Tout l’après-midi le mur d’escalade de Vert-Tea-Jeu, installé bien à l’ombre, a attiré la jeunesse qui s’est essayée avec plus ou moins de réussite à gravir son sommet par les trois faces. Les plus jeunes pouvaient se faire joliment maquiller et profiter de Mr Ballon qui leur offrait ses créations sous leurs yeux ébahis. La démonstration de Molky, un jeu de quilles d’origine nordique, avec ses règles spécifiques a suscité la curiosité des visiteurs pas rebutés par la chaleur. Ces visiteurs qui ont pu se mettre au frais en visitant les deux expositions d’art des Compagnons des 3 dazes d’Espeyrac et de Françoise Bousquet avec ses peintures sur verre et sur soie mais aussi des tableaux très frais et colorés de son neveu Raphaël, 11 ans.

Les quilles au maillet ont attiré de nombreux joueurs, novices ou expérimentés. A tel point que Laurent Carles a dû comme l’an dernier créer un mini championnat. Quinze qualifiés se sont affrontés en phase finale et au terme d’une ultime partie haletante et à suspense c’est Patrick Cavalié qui s’est imposé devant Jérôme Battejat. Pendant ce temps le talentueux groupe Lomelindi animait le fond du lieu en attendant l’aligot géant qui se préparait sur la place du château. Une place du château qui s’est remplie au moment de la dégustation de cette spécialité de la montagne. 

Avant que les artificiers de FWF concept procèdent au tir du feu d’artifice, la présidente du comité des fêtes, Magali Sirvin a tenu à saluer « l’ensemble des bénévoles qui se sont dévoués pendant 3 jours pour semer la bonne humeur dans le village. Je remercie aussi la municipalité, Mr Bénazech, les commerçants et je vous demande de les associer tous dans une belle ovation pour l’amour qu’ils portent à notre village » concluait-elle.

Le feu d’artifice son et lumière qui a illuminé cette nuit étoilée, avec l’embrasement de la tour et du clocher de l’église a été honoré par des applaudissements nourris lors d’un bouquet final somptueux. Ces applaudissements qui ont fait chaud au cœur des bénévoles du comité qui prennent de jours de congés afin d’assurer ces jours de festivité pour le plus grand plaisir de tous.

Le tirage de la tombola a fait sortir les numéros suivants : 4630-3520-3551-3434-4929-4027-0175

 

 

  

 

SUCCES GRANDISSANT POUR LE MARCHE GOURMAND

D’année en année la fréquentation de ce marché gourmand qui ouvre la fête d’été de Sénergues, est de plus en plus importante. Composé uniquement de producteurs locaux il rencontre l’engouement des visiteurs en quête d’authenticité. Ils pouvaient en effet trouver des produits de la ferme des autruches, des conserves de canard gras de la ferme des Colombies, du miel du pays de Conques… Pour ceux qui souhaitaient se restaurer sur place ils avaient le choix entre des saucisses ou des brochettes de sanglier accompagnées d’une délicieuse truffade. Les plus gourmands pouvaient compléter avec des pâtisseries et même des macarons. Malgré une petite bise bien fraîche, la placette s’est rapidement remplie de convives venus de Sénergues mais aussi des environs rejoints par des juilletistes, des pèlerins et des scouts de passage, dans une ambiance des plus conviviales avec de nombreux échanges entre vacanciers et résidents.

 

 

 

UNE FETE POUR TOUS LES ÂGES PARFAITEMENT REUSSIE A NOTRE DAME D'AYNES

C’est sous une météo excellente, soleil et chaleur que s’est déroulée dimanche 10 juillet la traditionnelle fête de Notre Dame d’Aynès. Celle-ci a débutée par le rituel petit déjeuner aux tripous-tête de veau qui a réuni ses habituels amateurs. La messe de 10 heures a été célébrée par le père Elie Costes, originaire de Sénergues avec la participation de la chorale d’Entraygues. Après l’apéritif place à la nouveauté de cette fête avec le repas du midi qui se substitue à la coutume du cochon grillé du soir.

Le veau d’Aveyron label rouge séduit les convives. Cette année les responsables ont opté pour du veau d’Aveyron label rouge. Cuit à la plancha par Grégory Guibert, fils de Michel l’ancien président de l’association, et restaurateur lui-même à Montpellier, il a fait l’unanimité par sa tendresse et sa saveur auprès des cent cinquante participants. C’est la mort dans l’âme que les responsables de l’association ont dû refuser une cinquantaine de personnes faute d’avoir réservé. Tous les bénévoles de l’association se sont démenés pour servir les convives installés sous des tentes bienvenues compte tenu de la chaleur estivale.

Tyrolienne et ventre glisse. Après ce succulent repas place aux jeux. L’association a eu la riche idée de faire appel à Vert-Tea-Jeu spécialiste des activités de plein air acrobatiques ou non, pour installer une tyrolienne de 200 m dans le pré en pente qui jouxte celui du repas. Cette animation proposée gratuitement a réjoui petits et grands de 3 ans et demi jusqu’à …74 ans !! Pendant ce temps le ventre glisse installé dans l’autre pré faisait lui aussi le plein d’amateurs de tous âges et sexe. La température extrêmement élevée exhortait à ce jeu d’eau apprécié pour ses glissades plus ou moins maîtrisées et les crises de rigolades qui vont avec. Tout ceci commenté avec humour par Yvan qui n’a pas arrêté d’animer la fête tout au long de l’après-midi.

Un écran géant avait été installé pour permettre aux bénévoles mais aussi à tous ceux et celles qui souhaitaient suivre la finale de la coupe d’Europe à la Fan-zone de Notre-Dame d’Aynès pour terminer cette belle fête réussie. Une fête dont les activités gratuites proposées ont réellement fait l’unanimité de tous les participants qui se sont amusés dans une superbe ambiance. Cette expérience du repas le midi a été couronnée de succès. 

 

 

 

UN BEL INSTANT DE GRÂCE MUSICALE

Fréderik Camacho est un jeune et très prometteur violoniste. Âgé de 20 ans, d’origine Vénézuélienne, il poursuit actuellement ses études musicales à l’université de Lausanne. Très peu aidé par son pays de naissance, l’association Musique en Joie en partenariat avec Vallon de Culture organise des séries de concerts pour l’accompagner et le soutenir financièrement. C’est dans ce contexte qu’une cinquantaine de personnes venue de divers horizons ont eu le privilège de l’écouter samedi 9 juillet dans la chapelle médiévale de Montarnal. Elles n’ont pas regretté le déplacement tant le talent de Fréderik, son naturel avenant et souriant ont séduit les mélomanes. Il a commencé son récital avec Jean Sébastien Bach les partita 2 et 3 suivies d’une « Berceuse » et « Après un rêve » de Gabriel Fauré, des pièces toutes en rondeur, finesse et puissance très appréciées. C’est une danse Roumaine très enlevée qui a précédé les célèbres « Caprice »s de Nicolo Paganini que tout bon violoniste se doit d’avoir à son répertoire. Ces pièces très techniques qui demandent une extrême virtuosité ont été parfaitement maîtrisées par Frédérik. Il a enchaîné ensuite avec des airs bohémiens, des danses populaires roumaines de Béla Bartok. Nouveau moment de grâce avec l’Ave Maria de Franz Schubert merveilleusement interprété dans un silence de cathédrale. C’est avec l’incontournable Czardas de Monti que Frédérik a conclu ce superbe récital sous les applaudissements  du public debout pour saluer la performance de ce jeune prodige du violon.

Après ce magnifique récital, Gérard Revel, propriétaire du château a proposé une visite gracieuse de la tour restaurée et de ses jardins, avec une présentation historique des lieux. Pour le plus grand bonheur des visiteurs, Frédérik Camacho a fait une aubade improvisée dans la douce quiétude du soir qui tombait, la meilleure façon de conclure cet instant magique. 

 

 

LA SAINT-JEAN RASSEMBLE LES VACANCIERS ET LES SENERGUOIS

 Ils étaient nombreux les vacanciers et les randonneurs, vendredi 24 juin, à se mêler aux résidents de Sénergues pour fêter la Saint-Jean autour du traditionnel feu. Préparé avec soin par Jean-François, André et Raymond, il s’est embrasé en s’élançant vers des cieux finalement cléments en ces premiers jours de l’été officiel mais aussi dans la réalité avec des températures enfin dignes de cette période. Cette mise à feu toujours aussi spectaculaire a ravi autant les grands que les petits qui se sont bien amusés et défoulés au cours de la soirée.

Le verre de l’amitié accompagné de fouace offerts par le comité des fêtes a été très apprécié par les nombreux participants qui ont devisé, fait connaissance pendant que le brasier se réduisait progressivement en cendres incandescentes.

 

 

 

LA CAMARGUE LIVRE SES SECRETS AUX AÎNES DE SENERGUES

Vendredi 10 juin dès 6h du matin, cinquante-deux adhérents du Club de l’Amitié sont partis à la découverte de cette immense plaine alluvionnaire, résultat de l’action conjuguée du Rhône, de la méditerranée et du vent. Après une pause petit déjeuner sur le Larzac, direction les Salins du Midi à proximité d’Aigues-Mortes. Chemin faisant, Jean-Claude a commenté historiquement les différentes villes traversées ainsi que la formation géologique des causses. Une visite d’une heure et demi en petit train aux Salins du Midi, a permis de découvrir une petite partie des 9 000 ha de marais salants, les différents bassins préparatoires appelés tables, avant que cette eau de mer saturée en chlorure de sodium d’une belle couleur rose, en raison de la présence de minuscules crevettes, circule pour être dirigée vers les surfaces saunantes ou cristallisoirs. C’est l’ultime étape avant la récolte qui a lieu de septembre à octobre. Le sel assemblé est lavé puis stocké sous forme d’une vaste montagne de 20 m de haut dénommée « Camelle », pour être ensuite envoyé par des canalisations à l’usine de conditionnement. Après cette intéressante découverte du sel de Camargue, direction Aigues-Mortes pour déguster la cuisine locale au cœur de cette cité fortifiée crée par Saint-Louis en 1246 pour partir en croisade. La soupe de poisson sauce aïoli et la Gardianne de taureau ont régalé les papilles des plus exigeants.  

L’après-midi fut consacré aux Saintes Maries de la Mer qui a vu arriver vers 40 après J.C. Marie Jacobé, Marie Salomé et Sara l’Egyptienne débarquer d’un frêle esquif miraculeusement guidés vers la plage par la protection divine. Les reliques de ces Saintes sont placées dans un 1er oratoire. Lors de la reconstruction de l’église au 12ème siècle les reliques sont enterrées dans le chœur. Elles sont retrouvées au 15ème siècle par le Bon roi René qui avait ordonné de fouiller le sol. Elles sont depuis placées dans des chasses. Elles font l’objet d’un pèlerinage les 24 et 25 mai pour célébrer Marie Jacobé et en octobre pour Marie Salomé. Sabine la guide de l’office de tourisme a expliqué au groupe les différents aspects de la Camargue, sa faune, sa flore, ses cultures, son agriculture avant de le conduire en l’église. Ce bel édifice roman fortifié, du 12ème siècle, en calcaire abrite les statues et les reliques des deux Maries et dans la crypte Sara, la vierge noire Sainte patronne des gitans.  La visite s’est terminée au pied de la statue de Mireille en hommage à Frédéric Mistral.

Riche de toutes ces informations les voyageurs d’un jour sont repartis vers leur point de départ en chansons. Le président Gérard Falco, n’a pas ménagé sa peine pour mettre l’ambiance, tout comme l’ancien président Marcel Panissié présent avec son ancien bureau. Une ultime halte à l’aire du Caylar a précédé l’arrivée à Sénergues la tête pleine de beaux souvenirs.

 

 

 

MUSIQUE ET GASTRONOMIE FONT UNE SAINT CLAIR REUSSIE

Après le magnifique et très apprécié récital du groupe Gospel Song qui a réuni près de 200 spectateurs en l’église de Sénergues le vendredi, c’est un apéro concert, qui était proposé par le comité des fêtes samedi 4 juin. Tout l’après-midi les petites mains du comité avaient préparé une délicieuse soupe aux fromages qui a été très apprécié par les participant de cette conviviale soirée. C’est la « Chanson nette à 2 » qui a assuré l’animation musicale toute la soirée. Avec un répertoire très varié et de qualité les deux excellents musiciens ont fait passer un agréable moment aux générations présentes. Si les plus petits étaient en admiration devant l’orchestre les autres générations confondues ont beaucoup parlé entre-elles devant un verre ou au cours de la dégustation de la délicieuse soupe chaude à souhaits. Cette ambiance s’est poursuivie jusqu’à une heure avancée de la nuit, avant qu’une nouvelle équipe prenne le relais pour préparer le petit déjeuner aux tripous servi dimanche matin dans cette même salle des fêtes par l’Entente Foot Lunel-Sénergues aux amateurs de cette tradition culinaire typiquement Aveyronnaise.

L’après-midi, le Thé-Dansant organisé par le groupe folklorique « Lous Castelous de Sénergues » a réuni bon nombre d’amateurs de folklore et de danses traditionnelles qui se sont régalés au son de l’orchestre de Joël Bayol.

Ces festivités de la Saint-Clair ont attiré un public nombreux qui a trouvé chaque jour une animation à son goût grâce aux associations qui se sont impliquées avec le comité des fêtes pour proposer un programme riche et varié.

 

 

 

 

LE GROUPE GOSPEL SONG D’ESPALION A MIS LE FEU A L’EGLISE

Vendredi 3 juin en ouverture des fêtes de la Saint-Clair organisées par le comité des fêtes, le groupe « Gospel Song » d’Espalion est venu donner un aperçu de son immense talent et de son répertoire. Sous la conduite précise et efficace de Myriam, chef de chœur et accompagné avec brio par Franck au piano la quarantaine de choristes a enflammé l’auditoire. En effet c’est dans une église comble qu’ils ont offert un merveilleux voyage à travers les continents et les âges. En première partie Ils ont alterné des chants du 18ème siècle comme Amazing Grâce, des complaintes du Sénégal ou d’Afrique du Sud, Georgia de Ray Charles… Le grand moment de cette partie fut « Amen » que Myriam fit reprendre par les hommes du public, puis par les femmes et ensuite tous ensemble avec les choristes dans un grand moment de ferveur. C’est avec un « Happy Day » très enlevé que c’est achevé ce début de spectacle sous les applaudissement nourris des spectateurs.

A la reprise le chœur a fait marcher les auditeurs dans Jérusalem avec « I want to be ready », puis aux Etats Unis avec un gospel Texan « Holy,Holy », suivis de Total Praise, Shosholoza, de Hail holy queen, un hymne à Marie, et de chants du film Sister Act. Pour finir ce superbe concert très apprécié par un public nombreux, très enthousiaste et réceptif qui n’a pas hésité à rythmer les chants en tapant dans les mains, le groupe a entamé un chant de guerre « Erile » suivi d’un gospel très jazzy « Kiste pile wena ». Un tonnerre d’applaudissement a salué la remarquable prestation de « Gospel Song » qui transmet au public sa joie de chanter ensemble dans une bonne humeur communicative complété par Bernard qui présente chaque morceau avec  beaucoup d’humour. Ce fut un vrai régal. Aussi les auditeurs présents ne les ont pas laissés partir comme cela. C’est une salle débout qui a applaudi à tout rompre les reprises de Happy Day et Amen chanté par toute l’assemblée. A souligner la présence dans ce groupe de Gérard Falco et de la toute jeune Laureen Grondin de Sénergues.

 

 

  

UNE ENRICHISSANTE RENCONTRE INTER-GROUPES FOLKLORIQUES

L’an passé à la même époque, à l’initiative de Roger Puech, originaire de Rieupeyroux et membre du groupe folklorique Lous Castelous de Sénergues, une rencontre avec le groupe folklorique local « Les Ventres Nègres » avait eu lieu. Une très agréable réception riche d’échanges qui a laissé d’excellents souvenirs. Cette année c’est le groupe « Lous Castelous » qui a rendu l’invitation avec un riche programme de visites bien établi. Samedi 23 avril au matin c’est la Ferme des Autruches de la Besse de Sénergues, qui leur a réservé un accueil des plus chaleureux. Ensuite le groupe a rendu visite à un élevage de buffles à Carboniès sur la commune de Saint-Félix-de-Lunel. Après ces instants de découvertes, place au réconfort autour d’un «cabrit » à l’oseille particulièrement bien apprécié. Au cours de ce déjeuner pris en commun de nombreux échanges ont eu lieu sur le plan folklorique et…. culinaire !

L’après-midi s’est poursuivi avec des danses où les membres de deux groupes, danseurs et musicien, s’en sont donné à cœur joie. Tous les participants vont pouvoir garder en mémoire les instants de cette rencontre très enrichissante aux niveaux musical et culturel.

 

 

 

PAS DE MELANCOLIE POUR LES AÎNES

Ce sont quatre-vingt-quatre adhérents (es) du club qui se sont retrouvés mercredi 6 avril à la salle des fêtes de Sénergues autour de leur tout nouveau bureau. D’emblée, dans son mot de bienvenue, le président Gérard Falco remercie tous ceux et celles qui ont fait confiance à cette nouvelle équipe. Il a une pensée émue envers tous les disparus du club ainsi que vers les malades qui n’ont pu être présents ce jour. Il félicite Marcel Panissié l’ancien président pour tout le travail accompli pendant les quinze années passées à la tête du club. Il appelle Julia, Marcel, Gilbert et Jean-Claude pour leur remettre un présent en remerciements de l’aide précieuse apportée au bureau du club, pendant de nombreuses années. Il rappelle ensuite la sortie d’un jour aux Saintes Marie de la Mer et aux Salins du Midi le 10 juin. Il précise que le voyage d’automne à Peniscola est presque complet avec déjà quarante-quatre inscrits.

C’est dans une salle des fêtes superbement décorée et fleurie par Martine, du restaurant l’Hôtel de la Vallée à Espeyrac, l’hôtesse du jour, que ce repas de printemps s’est déroulé dans une superbe ambiance autour du plat traditionnel de la saison à savoir le chevreau à l’oseille. Tout au long de cet après-midi, Gérard Bergé « Le magicien sans manches » comme il se définit s’est livré à de nombreux tours de magie tous aussi réussis et imprévus les uns que les autres. Ils ont provoqué l’étonnement et l’hilarité de l’assistance. Tout comme ses blagues et histoires en patois qui n’ont pas engendré la mélancolie. Le repas préparé avec soin par Martine et Janine a été bien apprécié par tous ces gourmets qui n’ont pas vu passer l’après-midi.

Le bureau du club donne rendez-vous pour la sortie de juin pour laquelle les inscriptions sont ouvertes. Dans l’attente, les rencontres ludiques du mardi après-midi à la salle des fêtes se poursuivent où tous les amateurs de cartes et jeux de société sont les bienvenus. 

 

 

UNE AFFLUENCE RECORD A LA BELOTE DE NOTRE DAME D'AYNES

Le concours de belote organisé par l’association locale de Notre Dame d’Aynès a connu son record d’affluence puisque ce sont 42 doublettes qui se sont inscrites ce samedi 2 avril. A croire que la salle était prévue à cet effet puisque ce sont 21 tables qui étaient disposées dans celle-ci. La table de marque a donc dû s’exiler pour devenir le comptoir de marque.

Mais il en fallait plus pour perturber le vieil habitué de la table de marque, Jean Pierre Combal qui s’est occupé de la gestion de ce concours. Ce même Jean-Pierre qui annonçait donc les gagnants de la soirée : si le premier lot est parti sur les hauteurs du Cantal du côté de Junhac, le deuxième est resté dans la vallée du Lot du côté d’Entraygues . Quant au troisième il est resté sur la commune grâce à la « doublette expérimentale » Vigouroux-Carles. 

 

   

UNE FRUCTUEUSE CHASSE AUX OEUFS

 Une météo sommes toutes clémente a permis le bon déroulement de cette chasse appréciée par les petits, les moyens et mêmes les plus grands qui restent toujours de grands enfants. Ils étaient une petite trentaine ce lundi 28 mars prêts pour cette aventure. Les enfants du village et des alentours ont été rejoints par quelques vacanciers de ce weekend Pascal.

Dès 15 heures précises Magali Sirvin présidente du comité des fêtes a donné le top départ de la chasse. Après avoir cherché dans tous les recoins de la placette toutes les friandises que les cloches avaient déposé à leur retour, tous les enfants ont partagé le goûter préparé par le comité des fêtes, organisateur de cette première animation de l’année. Ce comité qui donne rendez-vous aux plus grands dès le 3 juin pour les trois jours des festivités de la Saint-Clair.

 

 

 

LES AMOUREUX DU FOLKLORE ONT REPONDU PRESENT AUX « MUSÏCAÏRES »

En ce premier jour officiel du printemps les amoureux …du folklore se sont retrouvés nombreux à la salle des fêtes de Sénergues. En effet dimanche 20 mars « Les Musicaïres del Païs » avaient donné rendez-vous à leurs aficionados pour s’adonner à leur passion favorite : la danse. Ils n’ont pas eu à se plaindre car toute la palette des danses folkloriques fut à leur disposition tout au long de l’après midi et de la soirée.

Les délicieux choux farcis préparés par les membres du groupe folklorique local « Lous Castelous » ont fait l’unanimité des convives. Requinqués par ce plat apprécié, la vingtaine de musiciens de l’association des musicaïres et les danseurs ont abordé avec entrain la deuxième partie de soirée qui s’est poursuivie une partie de la nuit.

Le groupe « lous Castelous » vous donne rendez-vous le dimanche 5 juin après-midi dans le cadre de la fête de la Saint-Clair où il organisera un Thé Dansant.

 

 

 

BELLE PARTICIPATION AU QUINE DU CLUB DE L’AMITIE

Dimanche 28 février, s’est tenu à la salle des fêtes de Sénergues le quine annuel du club de l’Amitié. Dans une salle bien remplie, le Président Gérard Falco a eu le plaisir d’accueillir de nombreux amis venus des clubs environnants. Il fut distribué aux participants le programme des activités du club prévues pour l’année 2016 ainsi que la composition du tout nouveau bureau fraîchement élu.

C’est le président lui-même qui a procédé au tirage des numéros de la chance pour emporter la bonne soixantaine de lots mis en jeu. Parmi ceux-ci un bon d’achat de 100€, valable à l’épicerie « Panier Sympa » de Sénergues, offert par le club. C’est Mr et Mme Servières du Bosc d’Espeyrac qui ont remporté ce gros lot. Le bureau comme d’accoutumée a offert la fouace à l’entracte, pour remercier tous les présents de leur aimable soutien.

 

 

ASSEMBLEE GENERALE, GALETTE ET NOUVEAU BUREAU AU CLUB DE L’AMITIE

Cette assemblée a débutée mardi 19 janvier, par l’encaissement des cotisations et le renouvellement des cartes qui a vu l’arrivée de quatre nouveaux adhérents ce qui porte à cent-quatorze les membres du club parmi lesquels la doyenne de la commune, Maria Bouscal, 99 ans, qui a renouvelé sa carte.

En présence de Paul Goudy maire de Sénergues, de Jean Gaillac président du club d’Espeyrac, venu en voisin et ami, Marcel Panissié Président du club a salué tous les participants en leur souhaitant les meilleurs vœux du bureau pour cette nouvelle année. Puis il laisse la parole à Julia Fournier, secrétaire, qui fait un compte rendu moral détaillé de l’année 2015 avec les festivités, les sorties, les voyages qui ont vu à chaque fois une belle participation des membres du club. Ensuite Monique Brégou, trésorière présente le bilan financier équilibré de l’année écoulée. Puis le président reprend  la parole pour annoncer la démission complète du bureau. Il en profite pour remercier chaleureusement toutes celles et ceux qui l’ont accompagné, aidé depuis quinze ans. Mr le Maire félicite Marcel et toute l’équipe sortante présente depuis 2001 dont Julia Fournier, Eliane Blanadet, Gilbert Costes et Jean-Claude Richard qui ne se représentent pas. Il souligne l’engagement profond de Marcel au sein du monde associatif, toujours dans un esprit et dans un climat de convivialité. « C’est extraordinaire à 86 ans d’avoir toujours un tel engagement. C’est cela qui aide à vieillir, car l’on sait pourquoi on se lève le matin ! » devait-il conclure avec un sourire complice.

Le bureau sortant distribue aux soixante-dix présents les bulletins avec la liste des dix nouveaux candidats. Après dépouillement Monique Brégou, Nicole Cavalié, Georges Costes, Gérard Falco, Denise Fayel, Norbert Fayel, Marie-Noëlle Gaillac, Nadia Goudy, Solange Ladrech-Panissié et Ginette Richard sont élus pour composer le nouveau bureau. Celui-ci va se réunir très prochainement pour constituer l’équipe dirigeante et administrative.

Cet agréable après-midi s’est achevé avec la dégustation de la galette des rois et… des reines offerte par le club. Le prochain rendez-vous est fixé au dimanche 28 février pour le quine annuel.

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